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La trousse Sexto doit être utilisée. La trousse vous permet de déterminer l’amorce, la nature, les intentions et l’étendue de la situation qui vous permettent d’orienter la suite de votre intervention. Vous serez rassuré de pouvoir compter sur la trousse et la jeune fille sera également rassurée par le sérieux avec lequel vous traitez la situation.
Il est important, dans l’intérêt de tous, de faire bénéficier à la jeune fille de la trousse Sexto et d’en enclencher le protocole afin de rassurer la jeune et de connaître l’amorce, la nature, les intentions et l’étendue de la situation. Vous aurez un portrait global de la situation et vous pourrez ainsi guider la suite de votre intervention.
Il s’agit de la bonne réponse. Il est important de connaître l’amorce, la nature, les intentions et l’étendue de la situation. Vous pourrez ainsi déterminer, entre autres, la nature des images partagées, les jeunes qui sont impliqués, et les circonstances entourant l’événement. Le protocole Sexto permet de répondre à vos questionnements, de rassurer la jeune et de vous faire un portrait le plus précis possible de la situation afin de guider votre intervention.
Avant d’envisager une suspension, ou toute autre mesure disciplinaire, il est important, dans l’intérêt de tous, de faire bénéficier la jeune fille de la trousse Sexto et d’en enclencher le protocole afin de rassurer la jeune et de connaître l’amorce, la nature, les intentions et l’étendue de la situation. Vous aurez ainsi un portrait global de la situation qui vous aidera à guider votre intervention.
La trousse d’intervention Sexto doit être utilisée. Il est important de rencontrer le jeune afin d’effectuer une prise en charge rapide de la situation. Dans ce cas de figure, l’adolescent, qui est également l’auteur du signalement, se tourne vers une personne de confiance afin de chercher de l’aide. De plus, vous n’avez aucun indice quant à la nature des images partagées, aux personnes impliquées et aux circonstances entourant l’événement. Il est donc important qu’une grille d’incident soit réalisée avec le jeune afin d’évaluer l’amorce, la nature, les intentions ainsi que l’étendue de la situation. Une fois ces informations recueillies, vous serez mieux outillé pour déterminer la suite de votre intervention.
Il s’agit de la bonne réponse. Il est important de connaître l’amorce, la nature, les intentions et l’étendue de la situation. Vous pourrez ainsi déterminer, entre autres, la nature des images partagées, les jeunes qui sont impliqués, et les circonstances entourant l’événement. Le protocole Sexto permet de répondre à vos questionnements, de rassurer le jeune et de vous faire un portrait le plus précis possible de la situation afin de guider votre intervention.
La trousse Sexto ne peut pas être utilisée dans ce cas de figure. En effet, ce n’est pas la jeune victime qui est venue vous voir, mais son parent pour dénoncer une situation qui a eu lieu à l’extérieur du cadre scolaire. Vous n’avez aucune information indiquant qu’il y a des répercussions pour l’adolescent ou dans le milieu scolaire. Vous devez diriger le parent vers le service de police afin que la situation soit prise en charge rapidement, le cas échéant. Vous pourrez également agir en conformité avec les directives de votre établissement et offrir de l’aide et du soutien au jeune au besoin.
Vous ne devez JAMAIS chercher à voir les images qui pourraient s’apparenter à de la pornographie juvénile, car en adoptant ce comportement, vous commettez une infraction criminelle. Il faut plutôt prendre le temps d’expliquer au parent que vous ne pouvez pas intervenir sur la base du protocole Sexto et le diriger vers le service de police de la région en prenant soin de vous assurer que tout se passe bien à l’école pour son enfant. En effet, il s’agit d’une situation complètement hors du cadre scolaire et vous n’avez aucune information indiquant qu’il puisse y avoir des répercussions pour la jeune ou dans le milieu scolaire.
Il s’agit de la bonne réponse. En effet, vous ne devez pas intervenir selon le protocole Sexto, car la situation est complètement extérieure au cadre scolaire. Ce n’est pas la jeune victime qui vient vous voir, ni même un autre élève de votre école témoin de la situation, mais plutôt un parent, et rien n’indique qu’il y ait des répercussions pour son enfant, ou encore au sein du milieu scolaire. Vous devrez donc diriger le parent vers le service de police de la région qui prendra charge de la situation, tout en vous assurant que tout se passe bien à l’école pour son enfant.
Vous n’avez pas le portrait global de la situation (amorce, nature, intentions, étendue), mais simplement une version peu détaillée d’un parent. À ce stade-ci, vous devrez diriger le parent vers le service de police de la région qui verra à prendre en charge la situation. Vous ne devez pas intervenir selon le protocole Sexto car la situation est complètement extérieure au cadre scolaire. Ce n’est pas la jeune victime qui vient vous voir, ni même un autre élève de votre école témoin de la situation, mais plutôt un parent, et rien n’indique qu’il y ait des répercussions pour son enfant, ou encore au sein du milieu scolaire.
Si vous agissez ainsi, vous vous retrouvez à répondre à une demande d’un policier et donc, à devenir mandataire du service de police, ce qui n’est absolument pas votre rôle. À titre d’intervenant scolaire, votre rôle est de répondre aux situations qui sont dénoncées à l’intérieur de votre établissement. Vous n’êtes pas un enquêteur de police. Vous devez expliquer au policier que vous ne pouvez répondre à sa demande et que cela va à l’encontre du protocole SEXTO. Le policier devra prendre en charge la situation.
Il s’agit de la bonne réponse. En effet, vous ne pouvez agir comme mandataire du service de police et à enquêter à leur place. Ce n’est pas votre rôle. Le policier devra prendre en charge la situation qui lui a été dénoncée.
Si vous agissez ainsi, vous vous retrouvez à répondre à une demande d’un policier et donc, à devenir mandataire du service de police, ce qui n’est absolument pas votre rôle. De plus, vous conseillez à un parent de consulter des images et/ou vidéos qui peuvent s’apparenter à de la pornographie juvénile. Aucun parent ne doit chercher à voir de telles images. À titre d’intervenant scolaire, votre rôle est de répondre aux situations qui sont dénoncées à l’intérieur de votre établissement. Vous n’êtes pas un enquêteur de police. Vous devez expliquer au policier que vous ne pouvez répondre à sa demande et que cela va à l’encontre du protocole SEXTO. Le policier devra prendre en charge la situation.
Ce n’est pas la bonne façon de faire. Le procureur ne pourra pas vous aider. Il vous dira que vous ne pouvez pas enquêter à la place du service de police et que vous n’êtes pas leur mandataire.
Lorsque les informations amassées nous amènent à penser que nous sommes en présence d’un acte malveillant, il faut éviter de questionner l’instigateur. Dans la démarche Sexto, en présence d’un acte malveillant, vous devez communiquer avec le service de police rapidement qui prendra en charge la situation. Considérant les informations reçues, vous devez tout de même confisquer le cellulaire afin d’éviter la propagation des images.
Le fait de confisquer le cellulaire de l’instigateur et de ne pas le questionner est effectivement la bonne marche à suivre dans le cadre d’intervention Sexto. Par contre, lorsque votre intervention est terminée auprès de chacun des jeunes impliqués ou en cas d’acte malveillant, vous devez immédiatement contacter le service de police qui prendra en charge la suite de l’intervention.
Bien que vous devez contacter immédiatement les policiers et ne pas compléter la grille d’évaluation d’incident avec l’instigateur, vous devez tout de même confisquer l’appareil électronique de l’élève afin d’éviter la propagation des images et assurer l’intégrité physique et psychologique des jeunes impliqués.
Il s’agit de la bonne réponse. En effet, en présence d’un acte malveillant, il faut éviter de questionner l’instigateur. Par contre, vous devez tout de même confisquer le cellulaire de l’instigateur rapidement afin d’éviter la propagation d’images et assurer l’intégrité physique et psychologique des jeunes impliqués. Le service de police prendra la situation en charge.